Actualistik OCt 2O21
Cette pièce est le 2ème volet du triptyque nommé YAAKAAR qui signifie ESPOIR en Wolof (langue officielle du Sénégal pays d’origine du chorégraphe).
Passer d’une rive à l’autre, dévier puis revenir, changer d’itinéraire en cours de route. Se recentrer, se renver-ser, se retrouver.
accueille les questionnements qui animent nos existences, qui déterminent nos choix. Cette création est une réflexion sur nos ancrages géogra-phiques, les migrations de nos sociétés. Sommes-nous façonnés par nos origines ? Pouvons-nous inverser le cours des choses ?
À travers une danse urbaine qui traduit l’essence du métissage, raconte les traversées, physiques et émotionnelles, qui portent en elles nos contraintes et nos contradictions. Pour que le corps exprime ce que les mouvements dessinent.
Au rythme des pulsations de la musique, au cœur des liens et des connexions entre êtres humains, dans l’immédiateté d’une gestuelle instinctive, engage un constat humble et sincère de nos histoires et nos vécus.
LA TRANSMISSION & L’INTERACTION DES AMATEURS À L’ÉCRITURE CHORÉGRAPHIQUE
Abdou N’Gom ouvre sa démarche créative aux rencontres et à l’inattendu qui percutent nos existences, en collaborant avec différents groupes d’amateurs-trices avant chaque représentation. Le chorégraphe les invite à laisser éclore leur créativité, à prendre la main sur ce récit commun des voyages qui nous bouleversent, des itinéraires qui nous transforment.
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